Plus de trois semaines depuis, comme on dit en termes médiatiques ou présidentiels, ma dernière intervention. Point de maladie pourtant, ni de bling-bling, mais un horaire de plus en plus chargé par les préparatifs de mon imminent « grand dérangement » : le retour à Montréal après 25 ans.
Bref, Je lis autant, je prends des notes, mais paresse aidant, je procrastine à la bafouille.
Depuis le dernier Chantal Thomas, il y aura eu deux Régis Debray, Un candide en Terre sainte et Un mythe contemporain : le dialogue des civilisations, avec, toujours dans la foulée du livre de Jean-Claude Michéa quelques allers-retours dans La démocratie en Amérique de Tocqueville et, histoire de mieux fonder mes connaissances sur le sujet, dans Le capitalisme -- Les origines de Jean Baechler. Ce n'est pas le plein-emploi, mais, vous le constatez, je ne chôme pas de l'oeil.
Il y aura eu, enfin et surtout, l'exquis La belle maison, de Franz Bartelt (Éditions Le Dilettante), dont le récent Pleut-il ? m'avait déjà ravi. J'y reviendrai, c'est une promesse.
Présentation de l'éditeur
Les meilleures intentions du monde ont quelquefois des conséquences tragiques. Les Capouilles, seuls pauvres authentiques de la petite ville, vont pâtir des bienfaits dont les comblent les autres habitants, lesquels ne comprendront pas à temps que ce n'est pas parce qu'on n'a rien qu'on n'a rien à cacher.
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