Pierre SAMSON, Arabesques, Les herbes rouges, Montréal, 2010 (505 pages).
L'ami faisant preuve de patience, je chemine laborieusement dans les entrelacs de ces Arabesques. La séduction avait opéré, elle s'est un peu émoussée depuis, et alors je n'en suis qu'à 382 pages, j'ai la forte impression que me gagne la lassitude résignée des vieux couples : « Bien sûr, nous eûmes des orages...». Comble de malheur, d'autres livres sont arrivés chez mon libraire et à la bibliothèque : résisterai-je à la tentation ? Ou vais-je, invoquant Pierre BAYARD, vous parler d'un livre que je n'aurai pas lu jusqu'à fin ?
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