mercredi 6 février 2008

Grammaire

Denis GUEDJ, Villa des hommes, Robert Laffont, Paris, 2007 (309 pages)

Le passage suivant me laisse perplexe :
Les saumons remontent le courant pour se baigner dans les eaux de leurs origines. Matthias n'était pas un saumon. Bien que, par sa chevelure or, ce dernier soit de tous les poissons celui dont il se rapprochait le plus.
Il y a, de construction, des ruptures qui, moins bien, passent. Déjà que je n'y entre pas beaucoup, dans ce roman, qu'il semble m'indiquer la porte...

Aucun commentaire: