Présentation :
« Hélène Carrère d’Encausse, née à Paris en 1929, est aujourd’hui « immortelle ». Éue à l’Académie française en 1990 puis secrétaire perpétuel en 1999, elle doit cette reconnaissance à ses travaux d’historienne de la Russie impériale, et surtout soviétique, qui ont fait la matière de son enseignement à la Sorbonne et à l’Institut d’études politiques de Paris. Elle est ainsi l’auteur du célèbre Empire éclaté, qui annonçait, en 1978, la fin de l’URSS, mais aussi d’une galerie de biographies des dirigeants russes, de Catherine II à Staline, en passant par Nicolas II ou Lénine… Si elle a également été député européenne et conseillé nos gouvernants sur des sujets divers, c’est d’abord en tant qu’historienne et académicienne que le grand public la connaît. Et elle réunit justement ces deux facettes dans sondernier ouvrage, une histoire de l’Académie française, intitulée Des siècles d’immortalité.Post scriptum qui n'a rien à voir.
» Fidèles à Georges Duby, qui rappelait hier la « nécessité d’observer l’observateur lui-même, de savoir ce qu’il croit, ce qu’il craint, de faire l’histoire des historiens », nous évoquerons cette semaine ses travaux et ses jours à travers 5 épisodes, qui éclaireront tour à tour sa part russe, impériale, européenne, nationale et académicienne…»
J'ai eu, ce matin, à la relecture de mon article d'hier, un moment de sympathie pour un de mes lecteurs, dont le Français n'est pas la langue maternelle et que j'ai dû perdre dans le labyrinthes des deux phrases du premier paragraphe; je lui demande de ne pas m'en tenir rigueur.
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