« Victime de l’encaustiquage de l’escalier, non moins périlleux par là que le parquet de l’appartement, d’un danger surmonté jusque là au pas prussien de ses bottes, l’un des brancardiers, dans un vacillement, faillit lâcher l’un des bras du dispositif, le cadavre du coup projeté dans le vide, tel celui du marin décédé à mi-chemin de la traversée et qu’enveloppé d’un linceul on balance par-dessus bord- mais puisque chacun, à terme, replonge dans l’anonymat quelle différence avec l’immensité de la mer ? »Ah... une phrase qui prend son temps...
lundi 27 février 2012
Un nouveau Rinaldi
Lu dans le blog (la République des livres) de Pierre Assouline, du Monde, le commentaire sur le nouveau roman d'Angelo Rinaldi, Les souvenirs sont au comptoir, chez Fayard. Je ne résiste pas à la tentation de reproduire l'extrait qu'Assouline nous propose :
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