Pierre FOGLIA, Communicons, La Presse, 21 mai 2013.
Je viens de comprendre ce que je dois faire pour attirer des lecteurs (ou, à tout le moins, des visiteurs) : citer Foglia. Ils me pardonneront ce titre racoleur à la Duras et à son Hiroshima, mon amour -- lequel, digressons un peu, suscita naguère le commentaire suivant de Marguerite Yourcenar : « Et pourquoi pas Auschwitz, mon chou ? ».Consultant de temps à autres leur nombre, qui tourne en moyenne autour de 25 par article, je vois ce nombre bondir -- doubler ou tripler -- quand je cite l'indispensable atrabilaire de La Presse, dont je ne manque moi-même plus jamais (grâce à mon abonnement au fil RSS) un seul billet. Ce qui prouve, tristement, qu'il a bien raison : de nos jours, il suffit d'agiter l'information...
Tous mes remerciements, néanmoins, aux quelques dizaines de fidèles qui suivent -- ou visitent -- mes divagations littéraires.
Et lisent.
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