jeudi 20 décembre 2007

Transition

La lecture d'un livre que je trouve médiocre, ou qui déçoit mes attentes, me laisse toujours désemparé : je passe d'un titre à l'autre, sans me fixer. La période des fêtes de fin d'année, avec son cortège d'obligations vides augmentant, par ailleurs, cette mélancolie. Le temps que passe ce « vague à la lecture », je retourne à mes valeurs sures, par défaut, comme on le dit en informatique. Proust, le plus souvent. Je suis donc revenu à Albertine disparue depuis quelques jours.

Le cher Marcel, et ses vues sur l'amour...

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