mardi 22 janvier 2008

Sunt lacrimae rerum...


...et mentem mortalia tangunt.

Daniel MENDELSOHN, Les disparus, traduit de l'anglais par Pierre Guglielmina, Flammarion, Paris, 2007 (650 pages)
Oui, il y a des larmes dans les choses, surtout celles du passé qui se défait, du passé qui est le présent des survivants. Et l'âme en est touchée.

Me voici presqu'arrivé à la conclusion de ce livre, récipiendaire comme roman du prix Médicis alors qu'il s'agit bien d'un récit, et sauf à vous le recommander vivement, il me sera difficile d'en parler. Nous sommes tellement pris, de tous côté, par d'incessantes exhortations à consommer, ces il faut, coups de coeur, incontournables..., que je comprends l'inévitable lassitude ressentie.

Et pourtant...

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