En quatrième de couverture cette simple phrase : « Une couille dans le potage, c'est une erreur. Deux, c'est une recette... » On songe aussitôt à Pinard, allez savoir.
En prime, L'affaire du chien des Baskerville de Pierre BAYARD, rendu célèbre, volens nolens par son Comment parler des livres que l'on n'a pas lus ? de 2007, ouvrage pour moi libérateur, qui m'a affranchi de l'obligation des livres de Mlle Bombardier, produits navrants s'il en est.
Présentation de l'éditeur
Les personnages littéraires ne sont pas, comme on le croit trop souvent, des êtres de papier, mais des créatures vivantes, qui mènent une existence autonome à l'intérieur des textes et vont jusqu'à commettre des meurtres à l'insu de l'auteur.
Faute de l'avoir compris, Conan Doyle a laissé Sherlock Holmes se tromper dans sa plus célèbre enquête, Le Chien des Baskerville, et accuser à tort un malheureux animal, permettant au véritable assassin d'échapper à la justice. Ce livre rétablit la vérité.
J'y plonge (mais sans négliger STENDHAL pour autant).
Aucun commentaire:
Publier un commentaire