mardi 24 février 2009

Bibliothèque

Après avoir été refaire mes provisions de thé (pour le matin, de Ceylan), je suis allé, avec ma petite liste, à la GB. Las, même si j'avais préalablement vérifié le fameux catalogue informatique Iris, les titres que je souhaitais emprunter sont demeurés obstinément introuvables. Et comme je ne suis pas du genre à demander de l'aide... Le hasard, toutefois, m'a fait tomber sur une nouveauté de Franz BARTELT, Nadada, aux Éditions la branche. Cher BARTELT, dont je garde un vif souvenir de son Pleut-il, que je ne cesse de recommander à mes amis.

En quatrième de couverture cette simple phrase : « Une couille dans le potage, c'est une erreur. Deux, c'est une recette... » On songe aussitôt à Pinard, allez savoir.

En prime, L'affaire du chien des Baskerville de Pierre BAYARD, rendu célèbre, volens nolens par son Comment parler des livres que l'on n'a pas lus ? de 2007, ouvrage pour moi libérateur, qui m'a affranchi de l'obligation des livres de Mlle Bombardier, produits navrants s'il en est.

Présentation de l'éditeur
Les personnages littéraires ne sont pas, comme on le croit trop souvent, des êtres de papier, mais des créatures vivantes, qui mènent une existence autonome à l'intérieur des textes et vont jusqu'à commettre des meurtres à l'insu de l'auteur.
Faute de l'avoir compris, Conan Doyle a laissé Sherlock Holmes se tromper dans sa plus célèbre enquête, Le Chien des Baskerville, et accuser à tort un malheureux animal, permettant au véritable assassin d'échapper à la justice. Ce livre rétablit la vérité.


J'y plonge (mais sans négliger STENDHAL pour autant).

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