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On me pardonnera la facilité du titre, traduction de l'anglais. Le second verre de touraine et le film que je regarde y sont pour quelque chose. Alice, de Woody ALLEN. 1990 !
J'ai vu, samedi, son plus récent, le cru 2009, Whatever Works; s'il est vrai, comme l'affirme le critique britannique Mark KERMODE qu'ALLEN refait toujours le même film, celui-ci est un fantôme de son oeuvre précédente; c'est à peine s'il peut retenir de véritables comédiens : Larry DAVID est, pour lui, un comedian, une des créateurs de la série Seinfeld. Peut-il seulement jouer ? Quoiqu'il en soit, un ALLEN est toujours agréable à regarder, on y rigole un peu. Et je continue de me faire ma rétrospective. Ce soir, donc, Alice (je suis entre les deux côtés du Laserdisc : pour les jeunes générations, le film était réparti sur les deux côtés d'un disque, un peu comme les oeuvres musicales sur les deux faces d'un 33 tours...). Quelle finesse : le cinéma est magique, et avec ALLEN il est magie.
J'y retourne.
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