Tiraillements ces jours en ma maison. Je me suis, après quarante ans, remis à la bicyclette, et me prends à aimer me promener dans les rues, réputées dangereuse, de Montréal. Adrénaline et petite vitesse. Mais pendant ce temps, si le corps s'éjouit, l'esprit jeune, et la pile d'à lire, sur ma table, ne diminue pas. Comment faites-vous, beaux esprits, pour joindre les deux bouts ?
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