Sous la direction d'Alain FIENKELKRAUT, Ce que peut la littérature, Stock/Panama, Paris, 2006 (299 pages)
Dans le chapitre Conversation sur Le premier homme d'Albert Camus :
Gide, dans Les faux-Monnayeurs, avait fait dire à Bernard Profitendieu : « Ne pas savoir qui est son père, c'est ça qui guérit de la peur de lui ressembler. »À méditer à l'heure où l'on aime à déplorer la disparition de la figure du père dans notre société ?
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