Eh bien ! le roman de José Saramago,
La lucidité, ne contribue pas beaucoup à soulager le dépit amoureux que ma causé la lecture du récent roman d'Alain Fleischer. Que nenni !
Je ressens bien une vague culpabilité, diantre, c'est un nobel, après tout; rien n'y fait, je m'ennuie ferme. Il faut dire que je trouve le texte un peu raboteux, problème de traduction ?
J'y reviendrai demain.
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