Je suis un peu, été oblige, en panne non de lecture, mais de choix. Je suis donc retourné à mon livre
par défaut, ou plutôt, mon
oeuvre : À la recherche du temps perdu. Et j'ai repris
Albertine disparue. En parcourant les notes (de l'édition Tadié de la Pléiade), je suis tombé sur la citation suivante, de Mallarmé, que je m'empresse de partager avec vous, car elle me semble, comme l'écrirait notre cher petit Marcel,
capitalissime :
Le monde est fait pour aboutir à un beau livre.
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